5 – A L’OFFICE
Quand vous vous êtes servi d’une banane pour vous enculer , ou pour faire jouir votre petit frère de 8 ans, ne remettez pas la banane dans la jatte sans l’avoir soigneusement essuyée.
Ne branlez pas tous vos petits amis dans une carafe de citronnade, même si cette boisson vous paraît meilleure additionnée de foutre frais. Les invités de votre père ne partagent peut-être pas votre goût.
Si vous videz subrepticement la moitié d’une bouteille de Champagne, ne pissez pas dedans pour la remplir.
Ne suggérez pas au serveur de faire l’amour dans le cul d’une poularde cuite, sans vous être assuré par vous-même que le serveur n’est pas malade.
Ne faites pas caca dans la crème au chocolat même si, étant privé de dessert, vous êtes sûr de ne pas en manger.
6 – A TABLE
Si l’on vous demande ce que vous buvez à votre repas, ne répondez pas : « Je ne bois que du sperme. »
Ne faites pas aller et venir une asperge dans votre bouche en regardant languissamment le jeune homme que vous voulez séduire.
Ne déboutonnez pas votre petite chemise rose en clignant de l’œil vers la tribade la plus célèbre de la société.
Ne prenez pas deux mandarines pour faire des couilles à une banane.
Si vous branlez votre voisin dans sa serviette, faites-le si discrètement que nul ne s’en aperçoive.
Si votre amant ordinaire est placé en face de vous, ne lui faites pas de scène de jalousie à travers la table.
Quand une grande personne raconte une histoire leste que les petits garçons ne doivent pas comprendre, ne vous mettez pas à pousser des cris inarticulés comme un petit pédé de douze ans qui décharge, même si l’histoire vous excite au plus haut point.
Si vous trouvez un cheveu suspect dans votre potage, ne dites pas : « Chic, un poil de bite! »
Ne cachez pas un godemiché dans la jatte de fruits pour faire rire vos petits copains à l’heure du dessert.
Quand on vous servira des bananes, ne mettez pas la plus grosse dans votre poche. Cela ferait sourire les messieurs.
Il est du dernier mauvais goût de glisser un godemiché sous la serviette d’un petit garçon à la place de son petit pain.
7 – JEUX ET RECREATIONS
Ne demandez jamais à une dame la permission d’aller jouir avec son petit garçon. Dites « jouer », ce qui est plus décent.
Pour tirer à la courte-paille, ne demandez pas à un petit garçon de se couper cinq ou six poils, surtout si vous savez qu’il n’en a pas un.
Si vous jouez au doigt mouillé, ne le mouillez pas dans votre trou du cul, à moins que vous ne soyez dans l’intimité.
Si vous proposez de jouer à montre-moi ta pine, tu verras mon cul, assurez-vous d’abord que les grandes personnes ne vous surveillent pas.
De même quand vous jouez à celui qui pisse le plus loin possible, surtout si vous prenez des petits garçons comme arbitres.
De même si vous jouez à l’accouchement avec une petite poupée de porcelaine dans le cul.
De même encore quand vous jouez à celui qui fera la plus grande saleté. C’est le jeu favori des petits garçons; mais les parents ne l’approuvent jamais.
A la main chaude, si vous êtes à genoux devant un jeune homme, ne lui sucez pas la queue, vous ne pourriez pas répondre aux questions du jeu.
Se mettre du miel sur le zizi pour se faire lécher par un petit chien, c’est permis à la rigueur, mais il est inutile de le lui rendre.
Ne masturbez jamais un jeune homme par la fenêtre. On ne sait jamais sur qui cela peut tomber.
Ne sautez pas à cheval sur le cou d’un monsieur quand votre braguette est déboutonnée. Pour peu que vous soyez excité, vous tacheriez le col de sa redingote.
Baisser son short, s’asseoir sur une quille debout, la faire entrer où vous savez, et s’enfuir avec en la tenant par la seule force de votre trou du cul, c’est un exercice des plus indécents, qu’un petit garçon bien élevé ne doit pas imiter, même quand il l’a vu faire avec un succès d’estime.
En jouant à cache-cache, si vous vous trouvez seul avec un jeune homme, ou un vieux monsieur, dans une cachette impénétrable, branlez le; c’est l’usage.
Et si il fait des manières, branlez-vous devant lui pour l’encourager.
Si vous faites de l’équitation auprès d’un beau cavalier et si la selle vous prouve tout à coup une émotion débordante, vous pouvez soupirer : « Ah!… Ah!… » pourvu que vous ajoutiez tout de suite : « C’est pour vous que je le fais, monsieur. »
En jouant à colin-maillard, ne fouillez pas dans la braguette du jeune homme , ou du vieux monsieur, en disant que vous allez le reconnaître tout de suite. Cela le compromettrait beaucoup.
8 – EN CLASSE
Ne dessinez pas au tableau noir les parties sexuelles de votre instituteur surtout si il vous les a montrées confidentiellement.
Quand vous venez de vous branler sous le pupitre, n’essuyez pas votre doigt mouillé sur la chemisette rose de votre petit voisin, à moins qu’il vous en prie.
Si vous trouvez plus commode d’aller vous masturber aux water-closets, demandez simplement à sortir; ne dites pas pourquoi.
Si l’on vous demande ce que c’était que Pompée, ne répondez pas : « Ça devait être une pine » ; et si l’on vous demande quel personnage historique vous auriez voulu être, ne dites pas en clignant de l’oeil : « Je voudrais toujours être Persé. » Ce genre de facéties ferait rire vos camarades mais ne ferait pas rire l’instituteur.
Ne dites pas que la Floride est la pine de l’Amérique. Ce seraient une observation ingénieuse, mais déplacée dans la bouche d’un petit garçon.
Ne mouillez pas votre pouce dans votre bouche ou dans votre anus pour tourner les pages.
Si l’on vous dit que l’homme se distingue du singe en ce qu’il n’a pas de queue, ne protestez pas qu’il en a une.
Parmi les principaux verbes de la quatrième conjugaison, il est inutile de citer foutre, je fous, je foutais, je foutrai, que je foutisse, foutant, foutu. La conjugaison de ce verbe est intéressante mais on vous grondera plutôt de la connaître que de l’ignorer.
Si l’addition qu’on vous donne à faire produit le nombre 69, ne vous roulez pas de rire comme un petit imbécile.
Si votre professeur vous demande une plume, ne feignez pas de croire qu’il vous prie de lui sucer la queue.
Dans les petits thèmes anglais de la première année, on trouve parfois des phrases naïves :
Le hussard a tiré deux coups. Le maquereau a une belle queue.
Ne vous avisez pas de traduire : ” I like to be ass-fucked by a big cock…”
Si votre instituteur vous emmène dans sa chambre et vous prend entre ses bras avec un trouble extrême, baissez votre short sans affectation et guidez sa main hésitante vers votre anus. Cela la soulagera d’un grand poids.
N’abordez pas le premier jour un grande élève en lui demandant si il se branle.
1° Parce que la question est inutile : il se branle certainement.
2° Parce qu’il pourrait être tenté de mentir.
Emmenez-le secrètement au fond du jardin et livrez-vous devant lui à vos petites habitudes. Votre exemple lui fera honte de sa dissimulation.
Si l’un de vos aînés se moque de votre jeune âge parce qu’il a de jolis poils au cul et que vous êtes lisse comme la main, ne la traitez pas d’ours velu, d’Absalon : mais tirez une leçon de la petite colère que vous ressentirez et souvenez-vous d’être modeste quand vous aurez le cul poilu.